by taphfa
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Le Khidma, dans son sens philosophique, signifie
« Tout mouvement de valeur immatérielle et de nature volontaire que l’être humain mène comme dialogue avec l’univers et de la vie dans l’objectif de rendre grâce à Dieu pour l’avoir gratifié du statut de son lieutenant sur Terre (Khadim) ».
Une série d’anecdotes et d’exemples sera présentée ici dans le but d’expliciter la théorie du « Khidma ».
Anecdotes : imaginez ! le Président de la République du Sénégal en occurrence M. Macky Sall viens d’entendre notre discours puis il s’en ira voir le guide du mouridisme Cheikh Mountakha Mbacké dans le but de lui dire qu’il veut demander aux employés républicains de l’offrir chacun deux milliards pour en faire une caisse sociale afin de venir en aide les démunies « Fukhara » ; où les employés ne perçoivent pas leur salaire et ils le donnent gratuitement aux personnes démunies. Voyez-vous ! c’est une chose très facile à réaliser et il suffirait tout seulement de le dire au guide religieux Cheikh Mountakha Mbacké. Dans ce sens, un groupe de 61 personnes vinrent voir le guide qui leur accueillait quelque part ; chacun d’entre eux décida de donner volontairement (librement sans aucune formulation de besoin par le Cheikh) une valeur de 500 millions pour la construction de l’université de Touba. La question que l’on doit se poser ici est de savoir : si on leur demandait de donner chacun un million pour en faire une caisse sociale de la république du Sénégal alors, qu’est ce qui serait leur position ?
Au fait, le Président Macky Sall, la manière dont il étudie les doctrines comme : le Marxisme (Karl Marx), le doute méthodique de Descartes ainsi que d’autres doctrines, devrait faire la même chose en étudiant le concept de ‘’Khidma’’ et le prendre comme model de développement. Dans ce cas, le Président ne prêtera pas attention à celui qui a mis en place la doctrine plutôt, il n’a qu’à l’utiliser pour obtenir un résultat. L’histoire de l’ancien Président de la république de Gambie peut servir d’exemple.
Exemple : Yaya Djamé, président de Gambie à l’époque avait un champ de riz qu’il ne pouvait pas récolter par ses propres moyens, il vient voir le Président de la république du Sénégal à l’époque en occurrence M. Le Président Abdoulaye Wade qui lui conseilla d’aller voir le Khalif Général des mourides à l’époque Sergine Mouhamadou Lamine Bara Mbacké. Ce dernier demanda aux disciples mourides de venir en aide le Président Djamé qui de son côté avait estimé la récolte sur une durée de 3 mois, alors que les disciples mourides l’avaient effectué en une seule journée matin et soir. IL fut tellement ému de la détermination et de la volonté des disciples car il ne comprenait pas comment un groupe de personnes arrivait à récolter un champ de cette envergure en une seule journée. Ainsi, imaginez-vous à quel point fut l’immense plaisir du Président Djamé. Cependant, la question que l’on doit se poser est de savoir : comment le Président Djamé a pu utiliser les services du mouridisme pour récolter son champ alors, qu’est-ce qu’en est du Président Macky Sall qui doit être à mesure de faire la même chose que le Président Djamé pour le développement du Sénégal, en utilisant comme model de développement “AL KHIDMA’’.
Je dis : ‘’pour que le Sénégal puisse développer, il faut impérativement que l’on soit mouride’’ ; la théorie du Khidma doit être mis en pratique pour aspirer à un développement. Le Khidma constitue la clef de voûte pour le développement.
Anecdote : Untel !! tu m’avais raconté une histoire à Caire en 1990 lorsque tu étais venu en vacance, en me disant qu’un japonais on lui a demandé pourquoi le Japon est en avancement par rapport à nous. Et le Japonais a répliqué que nous les Sénégalais ont le modèle pour le développement qui est tout simplement : le mouridisme.
A l’approche de l’évènement Grand Magal de Touba, Ethiopia Airlines constitue le dernier vol que je connaisse qui met en disposition des billets spéciaux pour le Grand Magal de Touba. En Europe : Italie et France ont confectionnés gratuitement des visas pour les personnes qui ont des papiers et souhaitent assister au Magal. Ce qu’il faut comprendre est qu’il n’existe pas de billets dédiés spécialement au pèlerinage de Mecque alors qu’il existe des billets exclusivement dédiés au Grand Magal de Touba, ça suscite un sujet de réflexions mes chers et mérite une attention très particulière.
Nous les africains on doit utiliser ce modèle qui nous est propre qu’est le KHIDMA.
Anecdote : un jour Serigne Massamba quitta sa résidence pour aller à Dakar, arriva jusqu’au bord de la mer, il demanda à une femme de lui apporter de l’eau de mer à laquelle, il prit une quantité qui lui est suffisante et le reste il demanda à la femme de la verser dans la mer. Ce que l’on doit noter ici en est que Serigne Massamba, en tant que ‘’Khadimur Rassul’’ Serviteur du Prophète (SAW/PSL) ou ‘’Khalifatoul laahi fil ardi’’ Le Vicaire d’ALLAH sur terre, n’ose pas gaspiller l’eau de la mer qui est d’une quantité inépuisable. Voyez-vous ! la relation qui existe entre le vicaire et la nature : le respect du Khalifa envers son environnement.
Revenons-nous à notre schéma, la théorie du Khidma peut se résumer sous une trilogie voire une pyramide composée comme suit : Ar Rabu_Al Khadim_ Al Kawnou. C’est à dire constituer de Seigneur, du Serviteur et de l’Univers ; dans cette trilogie, existe une relation intrinsèque de tous les éléments. On parle ici de « Rabu » Seigneur et non pas de « Allah » le Créateur.
Exemple, je dis : Serigne Touba, dans ses poèmes et propos, utilise presque toujours le mot « Rabu » à la place du mot « Allah ». Cela peut s’expliquer du fait que lorsque l’on fait appel au créateur (Ya Allah) on s’éteint de celui-ci à l’exemple de Hallaj qui s’est éteint lorsque Allah a répondu à ses invocations contrairement à Ar Rabu (Ya Rabana) qui est du domaine Seigneurial et on aura la possibilité de formuler notre demande car on ne s’éteint pas à celui-ci.
- L’union entre Ar Rabu et Al Khadim : Al Khadimiya. Ar Rabu donne des ordres à Al Khadim.
- L’union entre Al Khadim et Ar Rabu : c’est l’obéissance totale du Khadim en vers son Seigneur Ar Rabu. Cette liaison est appelée : ???
- L’union entre Ar Rabu et Al Kawnu : Al Qayumiya. C’est le fait que le Seigneur exerce son pouvoir en vers l’univers. Dieu donne les éléments nécessaires pour la survie et le maintien de l’univers.
- L’union entre Al Khadim et Al Kawnu : Al Tahmiya, l’entretien. Le Khadim doit entretenir l’univers et participer à son équilibre.
A l’exemple de l’anecdote sur Serigne Massamba raconté au-dessus. Si cette cohésion existe entre ces deux termes, il n’y aura pas de problèmes sur terre. Le Prophète nous parle dans son hadith en disant de ne pas gaspiller de l’eau même si on fait nos ablutions sur une étendue d’eau telle que la mer. Si on procéde de cette manière le sommet de la France n’aurait pas son lieu d’être.
Au Sénégal, en analysant bien la situation du pays, on observe que ce sont les mourides qui possèdent les plus grands biens. Les mourides détiennent tout ce qui doit servir à l’homme pour son existence sur terre. Ils détiennent les plus grandes écoles coraniques ainsi que tous les biens au service de l’humanité. Tout ceci se résume dans le Khidma qui englobe tout. A ce sens, au cours des préparatifs du Grand Magal de Touba ;
Exemples : Untel dixit, je cite : « Préparez des repas pour les fidèles qui sont en cours de route pour le Grand Magal de Touba même s’y vous ne vous rendez pas à Touba ». De même sur ces perspectives, des jeunes mécaniciens font recours à la pratique du Khidma lors du Grand Magal de Touba en réparant gratuitement les voitures qui tombent en crevaison et/ou en panne sur la route vers Touba.
Anecdote : un homme m’a raconté qu’il avait quitté le Nord du Sénégal (Djoloff) puis il tomba en panne en plein route et s’était vu dépanner par un groupe de personnes. Et, il pensa à les payer on lui a dit que c’était gratuit car on était à en période de Magal. Ici, c’est le Khidma dans son sens propre qui guide ces jeunes mécaniciens à agir en bonne conscience et volonté : c’est l’âme du Khidma qui les guide. Voyez-vous ! la puissance et la grandiose de leurs actes ; on parle alors de « l’âme du Khidma ». Le novice « Mouride » ne reçoit aucun ordre venant de qui qu’il soit, il se laisse guide par le pouvoir de l’âme du Khidma.
Ce sont ces faits qui définissent le Khidma, ainsi le Sénégal aurait pu connaitre le développement depuis fort longtemps en adoptant le Khidma comme modèle et se laisse diriger par son âme.
Le novice « Mouride » ne doit pas se limiter tout simplement aux actes d’adorations cultuelles comme la prière et le ramadan. Mon grand-père, Serigne Manar Diop dixit que : « la Prière et le Ramadan sont des formes d’adorations cultuelles propres aux femmes ». En vérité, cela ne suffit pas au Mouride qui aspire obtenir l’agrément du seigneur et doit avoir un esprit de dépassement sur ces formes d’adorations ; le fameux « wastahmarakum fiha » doit être la volonté du novice mouride.
Anecdote : c’est une histoire qui est arrivée à un de mes proches ; nous étions allés à Dakar pour lui en faire une demande de mariage, à notre plus grande surprise on nous interpella dans la mosquée pour nous dire que les factures d’électricités furent disponibles alors que les fonds de la mosquée étaient insuffisants pour les payées. Ainsi, c’est nous, ceux qui étaient venu de Touba pour le mariage, qui ont pu donner de l’argent pour payer les factures. Ce qu’il faut retenir ici est que le Khidma est purement mouride car l’action de donner sans rien en recevoir relève du domaine du Khidma.
Une autre anecdote, un fils d’un guide religieux était venu voir Serigne Touba avec sur ses mains un livre de Quran qu’il voulait lui vendre. Le Cheikh lui demanda le prix du livre et le vendeur répondit 500 Fr ; le cheikh lui dixit d’aller voir Serigne Massamba Diop Saam en lui adressant une lettre. Arriver à destination, Serigne Massamba Diop Saam lui donna 500 Fr avec aussi livre du Quran puis il garda la lettre que Serigne Touba avait écrit pour lui faire part du venu de ce vendeur. Serigne Massamba Diop Saam conclut au vendeur que la lettre la suffisait.
L’enseignement que Serigne Touba nous fait part ici, c’est de savoir si la lecture tout simplement du Quran suffit-il ?? On doit se poser cette question : est-ce que la lecture du Quran simplement suffit ??
A retenir, le Cheikh a bâti une telle personnalité d’un Serigne Massamba Diop Saam qui, tout en mémorise le Quran, est à la fois capable d’acheter ce livre alors qu’il peut lui même rédiger. C’est ça qui définit le mouride ; un mouride doit être à l’exemple de Serigne Massamba Diop Saam.
La personne qui récite les qasidas est un mouride, je parle à celle qui le fait de manière objective avec une forte détermination « Pasteef ». Je dis : quiconque récite les écrits de Serigne Touba avec détermination et sérénité est un mouride. Voilà ce que je peux conclure sur le Khidma
En somme, le Khidma peut se résumer à ces exemples et anecdotes citées.
Pour terminer il faut bien savoir que la doctrine de Serigne Touba est en parfaite marche, que celui qui veut l’adopter l’adopte. Il n’attend personne, il est en cours de route. Serigne Touba est un modèle africain et sa doctrine doit être utiliser pour un développement rapide et durable. Il nous a légué un immense trésor que l’on doit saisir et partager pour le développement du Sénégal voire l’Afrique et le monde entier. Ça ne sert à rien de copier sur les occidentaux alors que nous avons des modèles pour développer notre pays.
Anecdote : je me demande si vous êtes au courant que Serigne Ngab (qu’ALLAH lui fasse miséricorde) avant de mourir, il est allé voir le Président Wade dans le but de lui dire où se trouver nous ressources en matières premières mais Hélas ! On lui fait attendre dans une salle d’attente en vaine jusqu’à ce qu’il reparte sans rien avouer au Président. Quel dommage !!!
Il est bien dit que toutes les matières premières sont sur les mains des mourides qui en détiennent toutes. Il faut que nous nous réveillons, c’est l’heure de l’éveil des consciences.
Je peux citer quelques ressources telles que : l’eau de roche pure, le pétrole ainsi que les matériaux (minéraux), tous ces éléments se trouvent dans le Baol. Qu’ALLAH nous accorde le pouvoir de les exploiter dans les plus brefs délais avant que les malfaiteurs d’occidentaux nous les dérobent de nos mains. Donc, le choix de la ville sainte de Touba par Serigne Touba ne relève pas du domaine du hasard évidemment, il y’a toute une sagesse derrière. D’ailleurs, il est dit que, très bientôt, la ville de Touba serait comme la ville de Venicia en Italie. Elle sera rempli d’eau qui court dans tous les sens jusqu’à ce que l’on utilise de petit pirogue pour les passages. Ça sera génial et qu’ALLAH nous accorde longue vie, que tout cela nous trouvera en bonne conditions et que nous soyons témoins de tous ces évènements qui auront lieu très bientôt.
Résumons, le mouride est un modèle, un vicaire ou un lieutenant d’Allah sur terre. Chacun de nous est un vicaire à sa propre personnalité ; le reste c’est de voir comment exercer son lieutenance dans cette vie et comment participer à l’équilibre de cette vie sur terre. Que chacun exerce sa lieutenance bonne il lui semble dans les meilleures manières. Allah est le Meilleur Connaisseur et connaît l’intention et les moyens de quiconque parmi les gens, raison pour laquelle il demande aux gens d’agir selon leurs capacités. Allah n’inflige personnes une tâche qu’il ne peut pas faire.
En utilisant Khidma, le Sénégal va avancer rapidement, les savants doivent guider les jeunes pour qu’ils soient conscient de leur avenir et de leur passage sur terre. Les savants doivent dépasser la récitation, ils ne font que réciter. Il est primordial que l’on ait nos propres pensées et les mettre en pratique afin d’abolir l’art de la récitation de l’histoire des autres. Les savants doivent dispenser leur savoir au service de la communauté et je reviens sur mes propos : « ils doivent abandonner catégoriquement la récitation et les pratiques similaires ». Ils ne font qu’apprendre et réciter. Il faut qu’ils fassent un effort de mettre en évidence leur connaissance et l’étaler au grand publique sinon on risque d’être comme l’a dit Oswald Spengler : « être cuit avant même d’être prêt à manger » !??. On risque gros de finir comme sur ce propos, donc il faut que nous soyons prêts avant d’agir.
En outre, le « Madrasatul Koma » est identique avec le Khidma dont leur but est de rappeler au vicaire son rôle de lieutenance d’ALLAH sur terre.
En d’autre lieu, c’est important de faire des progrès linguistiques en utilisant notre propre langue nationale qui est le wolof. Il existe une différence très nette entre la langue Wolof et le langage wolof que l’on doit bien clarifier. La langue c’est ce que l’on écrit avec un jargon académique bien protéger pour que d’autres mots ne s’y ajoute ou bien de s’en retirer. Alors que le langage, c’est les propos parlés. Il y’a de nombreux lexiques wolofs dont la racine est sérère qui constitue leur ancêtre et, parfois d’autres langues. Les lexiques wolofs doivent être bien maitriser et utiliser dans les travaux de recherches ainsi que dans les dialogues. Le dérive des mots et de leurs origines doivent être bien maitriser, il y a beaucoup de mots attribués au langage wolof alors qu’ils ne sont pas originaires wolof. Sur ce, Serigne Fallou Djomada, j’espère vous apprenez le wolof, vous avez du travail à faire sur la langue et le langage wolof.
Voici en exemples quelques mots wolofs ou originaires d’autres langues :
- « Guerté »: mot originaire Sarakhulé ; Wolof : « aalen »’
- « Jurra » : originire Diola. Les Diolas sont une population marchande qui effectuait leur déplacement entre la Mali, le Ghana et le Sénégal.
- « Yall » : Sérère ; Wolof : « Yalla ». En sérère la vocalisation est faible alors qu’en wolof la vocalisation est solide. La différence se trouve dans la vocalisation, ces deux mots ont la meme racine.
- « Bind » = creation. Exemple Dieu à créer les êtres vivants, en wollof : « Yalla mo bind Mbindef yi »
- « Mbindaafoon » : creatures
- « Mbind » : creation
- « Ruh » : c’est le primitif
Le grain « giif » du pain de singe « bouye », son contenu blanc est utilisé en médecine traditionnelle pour la guérison de la maladie de l’hypertension (Tangor en wolof).
- « Njanaaw » un chose qui regarde bien la direction avant de s’envoler’’ Arabe dit ‘’ta-ir’’
- « Deunde bi » = Big bang : l’ensemble des processus de la formation de l’univers.
- « Bakane » mot composé de ‘’BA’’ et ‘’KANE’’
Notes : le Wolof est une langue scientifique contrairement aux autres langues comme l’arabe ou le français. Il eut sa propre écriture identifiée dans le Mali mentionné dans l’œuvre « Tarikh histoire al hamma ». La langue wolof fut bel et bien écris. Nos écrivains wolofs doivent éviter d’écrire leur livre avec la langue latine, le latin est purement occidental. Alors que les occidentaux veulent imposer leur langue que l’on les laisse avec les leurs et que l’on se concentre sur le nôtre qui est le wolof. Si on continue à utiliser les mots latins alors la nouvelle génération ne sera plus capable de lire nos anciens écrivains comme Cheikh Moussa KA et Serigne Mbaye Diakhaté. Dans l’état actuel des connaissances on doit éviter la récitation en plus de ça, éviter aussi d’être d’avoir un aspect d’un « arabisant » ou d’un « francisant ».
Anecdote : lorsque l’on m’invita à une conférence en Egypte ; j’ai eu à dire au grand public que je ne suis pas un arabisant comme non plus un francisant. Plutôt, j’apprends à me connaitre à travers la langue arabe et bien aussi dans d’autres langues mais je ne suis pas l’un des leurs.
Le Khidma se résume dans la connaissance de soi-même et à travers les bonnes actions sous la guidance de son âme. C’est un modèle humanitaire qui rappelle à l’homme ses rôles de lieutenant d’Allah sur terre.
Après avoir cherché refuge auprès d’Allah SWT et l’avoir remercié de le mettre à l’abri de Satan, le Cheikh est revenu sur la nécessité de revoir la méthodologie dans nos enseignements locaux. Avec l’expression » خليل الأصابع « (passer l’eau entre les doigts en frottant) qui ne signifierait pas en Wolof « Xalil baaraam yi » n’est alors ni Wolof encore moins arabe, mais plutôt « Diggële ». Ici donc, l’erreur est flagrante pour ce terme.
Les mots » ا لقدر لقضاء وا ا » sont distincts dans leurs sens propres, mais associés, complémentaires et inséparables.
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